C'est avec ce documentaire que j'ai inauguré ma chronique cinéma sur Africa n°1. J'aime la façon qu'a le cinéaste Denis Gheerbrant, de filmer dans les interstices de la société. Il s'accorde ce temps incompressible, nécessaire pour lever la parole de ceux sortis des radars médiatiques. Le cinéaste s'arrête là où d'autres passent leur chemin. Bonne écoute !